ANVERS – CapitalatWork et le joueur de hockey Alexander Hendrickx ont conclu un partenariat en novembre 2021. Dans cette interview croisée, Maarten Rooijakkers, General Manager de CapitalatWork et Alexander Hendrickx expliquent comment cette coopération a vu le jour et pourquoi CapitalatWork et Alexander se complètent si bien. Ne manquez pas cet échange dans lequel les deux hommes parlent librement de leurs passions et de leurs défis.
Messieurs, présentez-vous brièvement. Quelles sont vos passions dans la vie ?
Maarten : « J’ai 59 ans et je travaille chez CapitalatWork depuis 17 ans, avec beaucoup d’enthousiasme et de passion. Ma plus grande passion est de me mettre en relation avec les gens, de les aider et de les conseiller chaque fois que je le peux, non seulement sur le plan professionnel, mais aussi dans ma vie privée. C’est également l’une des tâches les plus importantes d’une entreprise comme CapitalatWork. Nous conseillons et assistons nos clients dans tout ce qui a trait à leurs finances, mais parfois aussi à leur vie personnelle. Nous voulons protéger nos clients contre d’éventuels écueils financiers tout en créant une tranquillité d’esprit pour eux. Ma passion est donc aussi mon travail : servir nos nombreux clients formidables avec des équipes formidables. »
Alexander : « Je pratique aussi ma passion : le hockey. Je joue au Pinoké à Amsterdam et avec les Red Lions, l’équipe nationale belge. En outre, j’ai également terminé mes études d’économie appliquée à l’UA. Je pense qu’il est important d’avoir un diplôme pour mon avenir après le hockey. »
En novembre 2021, vous avez conclu un partenariat. Pourquoi CapitalatWork choisit-il le hockey ? Et pourquoi pour Alexander ?
Maarten : « Le hockey est un sport d’équipe et c’est une caractéristique qui se reflète très bien dans l’ADN de CapitalatWork. Dans le monde du sport comme dans une entreprise, tout commence par la constitution d’une bonne équipe. Ainsi, tout comme une équipe de hockey est composée d’un gardien, de défenseurs, de milieux de terrain et d’attaquants, chaque employé de CapitalatWork remplit également une tâche spécifique et ces fonctions sont réunies pour former une seule équipe. Le fait de disposer d’un groupe talentueux travaillant en équipe soudée et flexible ne constitue qu’une partie du succès. Nous avons également besoin d’une vision claire comme carburant pour poursuivre nos objectifs. Et cela se reflète dans notre philosophie d’investissement cohérente et transparente.
Et pourquoi avons-nous choisi spécifiquement Alexander ? Je connais Alexandre depuis son enfance et je l’ai toujours un peu suivi. Je savais qu’il était un bon étudiant, un fonceur. C’est quelqu’un qui a beaucoup de caractère. Cela s’est traduit non seulement dans ses études, mais aussi dans ses sports. J’ai pensé : ça correspond à CapitalatWork, cette mentalité de « fonceur ». Nous le sommes aussi ! Nous essayons, tout comme Alexander, d’y aller à chaque match ! Nous voulons aussi être les meilleurs dans notre profession. Nous n’avons pas besoin d’être les plus grands, mais nous devons être les meilleurs. Donc, à cet égard, j’ai trouvé que nous étions sur la même longueur d’onde ».
Alexander : « C’est vrai ! Maarten et moi avons rapidement été sur la même longueur d’onde en ce qui concerne notre coopération. Nos valeurs s’accordent bien. »
Quelle importance accordez-vous au travail d’équipe dans la vie quotidienne ?
Alexander : « Personnellement, je cherche toujours à obtenir les meilleurs résultats. Au hockey, nous travaillons avec des capitaines qui dirigent tout dans la bonne direction. Je crois fermement qu’une équipe est plus que la somme des individus. »
Maarten : « Tous ceux qui me connaissent savent que je vais à la compétition. Tous nos clients méritent un service excellent, et j’attends cette approche de la part de tous mes collègues, quel que soit le département. Depuis le début de ma carrière, je m’efforce de faire en sorte que les collègues interagissent dans une atmosphère de travail très agréable, où règne un grand respect mutuel. Ce respect mutuel et le fait de traverser le feu pour l’autre sont très importants pour moi. Ce n’est qu’avec un esprit d’équipe aussi sain que vous pourrez en tirer le meilleur parti et vous lancer dans la compétition ! »
Le hockey est en plein essor depuis quelques années. Pour certains jeunes joueurs, il est apparemment même difficile de trouver un club. Comment expliquez-vous cela ?
Alexander : « Je pense – en toute modestie – que les bons résultats de notre équipe y ont joué un rôle. À commencer par Rio et la médaille d’argent : cela a attiré l’attention sur ce sport. Il y a aussi le fait que les médias s’intéressent davantage à ce sport et que, par exemple, des matchs ont été diffusés pour la première fois sur Sporza… Tous ces facteurs contribuent à faire connaître ce sport et à le mettre sur la carte. Mon rêve est qu’à long terme, le hockey passe aussi à la télévision, comme le football. »
Maarten : « Cela continue de m’étonner (silence). On réalise des performances mondiales tellement incroyables, on revient avec des médailles des Jeux… Et pourtant, il n’y a pas de place pour le hockey à la télévision, ce qui est bien dommage. »
Alexander : « C’est vrai, Maarten, mais regarde, je fais de mon mieux ! En participant à l’émission « L’homme le plus intelligent du monde », par exemple, j’espère que le sport bénéficiera encore d’une certaine attention. Je constate que de plus en plus de villes et de municipalités mettent le paquet sur les nouvelles infrastructures, donc c’est déjà positif ! »
Le hockey et CapitalatWork : à première vue, un monde complètement différent. Existe-t-il néanmoins certaines similitudes entre les deux ?
Maarten : « Tout à fait. Tout d’abord, je pense au travail d’équipe, comme je l’ai déjà dit. En outre, il est très important de privilégier les objectifs à long terme. Nous n’essayons pas seulement d’aider nos clients dans leur situation financière actuelle, nous pensons aussi à ces questions à long terme : nous ne planifions pas seulement pour le présent, mais aussi pour la génération future. Cela se reflète également dans notre service : nous essayons d’établir une relation de confiance durable. Nous ne recherchons pas le gain à court terme, mais investissons dans un avenir financièrement sain à long terme. »
Alexander : « J’aime la façon dont tu dis ça ! Par exemple, il m’arrive d’avoir des revers à court terme. Je ne suis pas sélectionné, je suis blessé et ainsi de suite. Le message est alors de toujours rester concentré sur votre objectif à long terme. J’ai une devise : « Tomber sept fois, se relever huit fois ». Le message est qu’il faut toujours persévérer, même si c’est décevant ! »
Super ! Pour conclure : CapitalatWork s’occupe quotidiennement d’investissements. Mais il existe aussi des investissements dans le « capital humain », c’est-à-dire dans les personnes elles-mêmes. Y a-t-il des personnes qui ont fait en sorte que vous puissiez être là où vous êtes aujourd’hui grâce à leurs investissements ?
Alexandre : (très rapidement) » Mes parents ! Notez-le ! Ils ont vraiment beaucoup investi en moi en tant que personne et en tant que sportif. Ma mère m’emmenait à l’entraînement de hockey et faisait sa comptabilité à la cafétéria pour que je puisse faire du sport. Ils ont toujours été d’un grand soutien. Je me rends compte de la chance que j’ai d’avoir des parents comme ça. Il y a probablement de jeunes gens qui ont le même talent, mais le talent ne fait pas tout. En tant que jeune joueur de hockey, si vos parents ne vous amènent pas à l’entraînement, il devient beaucoup plus difficile d’aller loin. J’ai vraiment beaucoup de chance. »
Maarten : « Très bien dit ! Le soutien est essentiel. C’est aussi ce que nous voulons offrir chaque jour à CapitalatWork ».
Merci pour la discussion, messieurs !
