Le point commun des équipes de volley-ball Tchalou et Volley Haasrode Leuven, de clubs de tennis et de padel tels que celui de Justine Henin, et de l’équipe Casino, le plus grand club cycliste amateur de Flandre? Ils sont tous sponsorisés par le gestionnaire d’actifs CapitalatWork Foyer Group. Tout comme les deux athlètes olympiques Alexander Hendrickx et Camile Laus, ce qui leur permet de pratiquer pleinement leur sport, indique Maarten Rooijakkers, CEO de l’entreprise.
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C’est avec un plaisir évident que Maarten Rooijakkers, CEO de CapitalatWork, évoque cet événement qui illustre l’importance du sport pour le gestionnaire de patrimoine, mais aussi des valeurs
qui y sont liées, telles que la persévérance, la préparation et la concentration. CapitalatWork traduit également cette passion dans le soutien à la fois d’équipes et d’athlètes individuels.
Parmi ces derniers, deux participeront aux Jeux olympiques qui se dérouleront à Paris du 26 juillet au 11 août. CapitalatWork a en effet conclu un accord de parrainage avec le hockeyeur Alexander Hendrickx et l’athlète Camille Laus, qui fait partie de l’équipe de relais des Belgian Cheetahs. “Et ils en sont très heureux, car cet accord leur permet de pratiquer leur sport au mieux de leurs capacités”, souligne Maarten Rooijakkers. “Il ne s’agit clairement pas de footballeurs ou de cyclistes grassement payés.”
À l’instar de Maarten Rooijakkers, Erwin Deseyn, responsable de la stratégie d’investissement de CapitalatWork, verra bientôt les athlètes olympiques à l’oeuvre. “Nous sommes tous deux de grands amateurs de sport et nous suivrons les Jeux de près”, déclare-t-il. “Nous le faisons de la même manière que nous investissons, d’ailleurs. Comme notre équipe d’analystes internes suit de près les entreprises dans lesquelles nous investissons, nous scrutons les Jeux avec passion à la télévision.”
Maarten Rooijakkers acquiesce. “Avec un intérêt particulier pour les Belges, bien sûr. Nous espérons qu’ils remporteront le plus grand nombre de médailles possible.” Ce sera d’autant plus agréable si lesdites médailles sont décrochées par des athlètes “maison”. “Ils sont nos ambassadeurs, même si cela ne se voit pas sur leur maillot. Aux Jeux olympiques, la publicité est interdite.”
Sur les greens, CapitalatWork soutient des golfeurs comme Alan De Bondt et Jean de Wouters. “L’objectif est qu’ils accèdent à un niveau supérieur via le Challenger Tour”, confie Maarten Rooijakkers. Dans cette antichambre du DP World Tour, des joueurs talentueux tentent de se frayer un chemin vers le plus haut niveau. “Chaque année, les budgets nécessaires sont colossaux.
C’est pourquoi ils ont besoin de notre soutien.”
Génération suivante
Pourquoi avoir choisi des sports comme le hockey et le golf, qui ont une image plutôt élitiste? “Ces sports attirent un groupe-cible qui nous intéresse en tant que gestionnaire d’actifs”, explique
Maarten Rooijakkers. “C’est aussi une passion personnelle: Erwin et moi sommes tous deux golfeurs. Ce sont des réseaux dans lesquels nous évoluons nous-mêmes et où nous rencontrons des clients potentiels.”
CapitalatWork met également les athlètes à contribution. “Par exemple, ils nous aident à tisser des liens avec la prochaine génération, les enfants de nos clients, de jeunes adultes. Notamment en les initiant aux marchés fi nanciers dans le cadre de notre CapitalatWork Academy.”
Quel est donc le rôle de ces athlètes de haut niveau dans ce contexte? “Ils peuvent raconter de quelle façon ils sont parvenus au sommet, avec quelle persévérance et comment ils ont surmonté les échecs et les déceptions. C’est une source d’inspiration qui attire vraiment la next generation.” C’est pourquoi la devise de CapitalatWork, “It’s all about preparation, hard work and learning from failures”, est affi chée dans tous les bureaux de l’entreprise, confirme Erwin Deseyn.
Le travaille d’équipe relie
CapitalatWork compte même de plus en plus d’athlètes de haut niveau parmi ses clients, observe Maarten Rooijakkers. “Le besoin de conseils professionnels en matière de gestion de patrimoine est grand. Souvent, ils ont dans leur entourage des personnes davantage soucieuses de leurs propres intérêts que des leurs.”
Pour nouer le contact avec ces sportifs et sportives de haut niveau, CapitalatWork transpose le monde de l’argent dans leur univers. “Nous avons entre autres organisé une présentation sur le voyage d’un athlète vers les Jeux olympiques. Depuis le trajet qu’il réserve avec son iPhone, et la boisson dans la salle d’attente de l’aéroport, jusqu’au décollage de l’avion, ces entreprises font toutes partie de notre portefeuille d’investissement. Cette illustration est bien plus parlante qu’un discours abstrait sur la philosophie d’investissement et les méthodes de valorisation.”
À l’inverse, CapitalatWork transpose le monde du sport dans ses propres activités. “Ce qui lie les athlètes individuels et les sports d’équipe, c’est le travail d’équipe”, sourit Maarten Rooijakkers.
“Cela peut paraître étrange, mais en réalité, c’est évident. Le golfeur ne peut jouer seul, il a un entraîneur qui l’aide pour le putting, un autre pour le départ, un préparateur mental, etc. Dans notre
profession, il en va de même. Une personne qui se rend chez un client est soutenue par le travail de ses collègues. Ça aussi, c’est du travail d’équipe.”
Article publié dans Sabato